Kimwe mu guhemukira kahise kacu 

L'une des trahisons de notre Histoire 

 L’IDENTIRE MURUNDI ET LA LUTTE POUR L’INDEPENDANCE

 

LA DESTRUCTION DE L’IDENTITE MURUNDI ET LES DEFIS DE SA RECONSTRUCTION

 

 

LES DAMNÉS DE LA TERRE Chap. III

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 INDEPENDANCE DE LA MAGISTRATURE

 

LA LECTURE, POUR DES DEBATS CONSTRUCTIFS

 

 

Etat de droit

 

 

Afrique profonde

 

         COURS D’EDUCATION POLITIQUE

POUR LES FUTURS LEADERS DU BURUNDI

 

   

     Il était une fois...au BURUNDI

 

 

          Ça va se savoir (1ère partie)

 

       Ça va se savoir (2ème partie)

 

  LES 40 JEUNES MARTYRS DE BUTA

 

LES GENOCIDES AU BURUNDI

LA LIBERTE D’EXPRESSION 

                         La démocratie que les peuples entiers réclament de par le monde, surtout en Afrique, ne peut se concevoir sans le respect des Droits de l’homme. Malgré que la déclaration universelle des Droits de l’homme date de 1948, l’Afrique a été et est encore privé de la jouissance des Droits de l’homme d’abord par la colonisation puis malgré l’indépendance par les régimes corrompus, dictatoriaux, inféodés au néo-colonialisme. L’un des Droits les plus fondamentaux à être encore le plus bafoué est le droit de la liberté d’opinion, d’expression. Sans cette liberté fondamentale, aucune autre n’est possible dans son entièreté, il vous manquera toujours la possibilité de réclamer, de proposer, de critiquer.

L’Article 19 de la Déclaration de 1948 nous dit ceci : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ».

Qu’en est-il de la jouissance de ce Droit dans notre pays ? Quel est l’état d’esprit des Burundais (Dirigeants, Dirigés) face à ce droit ?  Pendant longtemps, beaucoup de gens ont été inquiétés pour leur opinion différente de celle du pouvoir, opinion parlée ou écrite ! La liberté d’expression n’a pas pu éclore, d’où le manque flagrant de forums de discussion autres que le parti unique, l’absence désespérante de journaux, de médias autre que gouvernementaux. Le vent de démocratie qui souffle permet un lent éveil à cette liberté, mais des habitudes ont été prises, des peurs se sont installées, une intolérance face à la critique condamne le Burundais à vivre encore dans l’oralité et à fréquenter les salons, les bars (pour les plus entreprenants) pour faire passer des messages, des idées différentes. Avec ce vent de démocratie, la balle se trouve dans le camp du citoyen. Qu’il ait le courage de ses opinions, que les changements ne se fassent pas sans sa participation, qu’il fasse connaitre ses points de vue sur ses problèmes et les problèmes du pays, qu’il sache que nul ne peut parler à sa place sans déformer sa pensée.

La revue « LE REVEIL » se veut être une revue d’expression, de débats contradictoires et constructifs. Elle accepte les articles de critique constructive, d’opinions diverses, de propositions pour une vie sociale, culturelle meilleure. Elle demande à ses lecteurs d’user sans abuser de leur liberté d’expression dans la tolérance et le respect d’autrui ! D’autres revues devraient naitre pour permettre au citoyen, de jouir de son droit à l’expression et d’un autre droit corollaire à ce dernier : le droit à l’information. 

La démocratie, la reconstruction politique nationale nécessitent la contribution de tous et de chacun. Que les bonnes idées s’imposent que les fausses soient combattues, par la parole et surtout par la plume, car verba volant, scripta manent !

La démocratie est une nouvelle culture qui s’apprend! Le chemin qui y mène passe par la liberté d’opinion, d’expression, le foisonnement d’idées. Et du choc des idées jaillit la lumière !

Dr Alphonse RUGAMBARARA 

Philosophie "Ubuntu" d'Itorero

   "UBUNTU TWARAZWE NA BASOKURU BUDUTEGEKA UKWUBAHA NO KUGIRA UBUNTU KU KIREMWA MUNTU COSE KUKO DUSANGIYE UBUNTU" : "L'UBUNTU NOUS LEGUES PAR NOS ANCETRES, NOUS OBLIGE A AVOIR DU RESPECT ET PRATIQUER L'UBUNTU ENVERS TOUTE PERSONNE HUMAINE DU FAIT QUE NOUS PARTAGEONS L'UBUNTU"                                                                                                                                                                                                                                                    La prise de conscience, l’interrogation et la réflexion permanente nous amène à la connaissance de nos maux, de notre histoire, de nos peuples pour une vision conséquente afin de sortir de ce cercle vicieux et bâtir un BURUNDI nouveau, une AFRIQUE nouvelle, avec des leaders responsables, conscients de leurs missions, attachés aux intérêts de leurs peuples. ITORERO sera ce lieu d’échanges et de formation pour les futurs leaders. Le BURUNDI sera le projet pilote, l’AFRIQUE sera l’aboutissement.

« Etre responsable dans un pays sous-développé, c’est savoir que tout repose en définitive sur l’éducation des masses, sur l’élévation de la pensée, sur ce qu’on appelle trop rapidement la politisation."

 

Histoire du Burundi

 

Ukuri gushirira mu kuyaga

 

 

  Dr Alphonse RUGAMBARARA,
  Rohero,
  BUJUMBURA, 
  BURUNDI

 Email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
 Website: www.itorero.org

 

 

Mission et Objectifs

C’est une lutte avant tout contre soi-même, pour se reconstruire d’abord, reconstruire les autres, nos Nations et l’AFRIQUE par le Nationalisme, le Panafricanisme et la philosophie de l’UBUNTU

 « L’humiliation du continent africain ne réside pas uniquement dans la violence à laquelle l’Occident nous a habitués. Elle réside également dans notre refus de comprendre ce qui nous arrive » (Aminata TRAORE).